La pollution est une partie importante dans le débat publique en France. La population humaine s’élève désormais à plus de 7 milliards ; quel que soit le rythme auquel ce chiffre continue d’augmenter, les humains ont besoin de trouver de nouvelles sources d’énergie pour leurs activités afin de se nourrir, de se déplacer, de rester au chaud et de construire et maintenir des communautés stables. À ce titre, une grande partie de l’activité humaine est la principale cause de la pollution dans des proportions très variables.
Quelles sont les causes de la pollution atmosphérique ?
Les particules fines sont le produit de réactions chimiques dans l’atmosphère, constituées d’un mélange de particules solides et de gouttelettes liquides. On les appelle souvent PM (Particulate Matter), pour particules en suspension. La taille d’un type donné de particules est indiquée par un indice, qui donne le diamètre de la particule en millionièmes de mètre, ou microns. Ainsi, les PM 2,5 sont un type de PM ayant un diamètre de 2,5 microns, soit environ un trentième de la largeur d’un cheveu humain.
Les particules en suspension peuvent être inhalées, ce qui entraîne des conséquences néfastes sur la santé. Certaines particules sont rejetées directement dans l’atmosphère par les incendies, les cheminées et les chantiers de construction, tandis que d’autres, comme les gaz d’échappement des automobiles et les émissions des centrales électriques, entrent en réaction avec les éléments déjà présents dans l’air pour créer des particules. Vous pouvez consulter le site www.e-retention.fr pour plus d’informations.
L’ozone troposphérique est un « mauvais » ozone qui se forme lorsque deux différents composants émis entrent en réaction dans l’air sous l’influence de la lumière solaire. Ces deux réactifs sont des nitrates d’oxygène, ou NOx (où x représente un nombre entier) et des composés organiques volatils, ou COV. Ces deux substances sont souvent présentes dans les gaz d’échappement des automobiles, des installations industrielles et électriques, des vapeurs d’essence et des produits chimiques utilisés comme solvants.
Protection de l’Environnement et de la Sécurité
Le dioxyde de soufre, ou SO2, est un type d’oxyde de soufre (SOx). Il est beaucoup plus abondant dans l’atmosphère qu’un autre oxyde de ce type, le SO3. La plus grande partie de ces émissions se retrouve dans l’air à la suite de la combustion de combustibles fossiles comme l’essence et le carburant diesel, alors que des quantités moindres sont apportées par des machines qui brûlent du carburant à forte teneur en soufre (par exemple, des locomotives et des navires) et même des éruptions volcaniques (la pollution atmosphérique n’est pas seulement causée par l’activité humaine, même si la contribution naturelle est relativement faible).
Le dioxyde d’azote a déjà été mentionné comme un composant de l’ozone troposphérique. Dans les sciences de protection de l’Environnement et de la Sécurité, le « dioxyde d’azote » est généralement utilisé comme substitut pour tout oxyde de nitrate (NOx). Comme le dioxyde de soufre, la plupart du dioxyde d’azote crée de la pollution atmosphérique lorsqu’il est libéré lors de la combustion du carburant. Il constitue en soi un danger respiratoire et crée d’autres problèmes lorsqu’il réagit avec les particules pour former des composés polluants dérivés.
Le plomb est souvent considéré comme un contaminant de l’eau et d’autres entités non atmosphériques, ayant rendu dangereusement imbuvable une grande partie de l’approvisionnement public en eau à Flint, au Michigan. Mais elle se retrouve aussi dans l’air, principalement par le traitement des métaux et des minerais, mais aussi par les émissions des avions. Il n’est pas surprenant de constater que les concentrations les plus élevées dans l’air se trouvent près des centres de fusion du plomb, où l’élément des métaux lourds est fondu.